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L’informatique quantique : les clés pour décrypter cet univers nébuleux

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Les progrès technologiques de l’informatique n’ont cessé d’impressionner au cours des dernières décennies. Toutefois, il semble aujourd’hui rencontrer certaines limites, particulièrement en termes de capacité de calcul. La solution ? L’informatique quantique.

Si l’on connaît plutôt bien le terme de « physique quantique », celui d’informatique quantique reste encore particulièrement obscur, si ce n’est inconnu d’une large majorité. Pourtant, lorsque l’on s’y penche, il semblerait que l’avenir de l’informatique repose sur cette branche d’activité. Encore faut-il en comprendre la signification et les objectifs. Toutes les explications de FCPI.fr.

Qu’est-ce que l’informatique quantique ?

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Pour comprendre l’informatique, revenons aux fondamentaux de l’informatique dite « classique ». Un ordinateur fonctionne grâce à un, ou plusieurs, processeurs. Ce processeur est, en quelque sorte, le cœur de l’ordinateur. C’est sa puissance qui détermine la vitesse de calcul et d’analyse des informations reçues. Pour en augmenter les capacités, il est nécessaire d’utiliser des composants de plus en plus petits, composants qui descendent au-delà du nanomètre. La physique classique fait alors place à la physique quantique, d’où le terme d’informatique quantique.

Un ordinateur quantique présente une singularité notable. Dans un ordinateur classique, le langage binaire permet à chaque case de mémoire d’afficher un 0 ou un 1, et donc une seule information à la fois. En revanche, dans un ordinateur quantique, les cases peuvent être remplies simultanément par un 0 ou un 1, permettant d’afficher deux informations par case de mémoire. De quoi accroître exponentiellement la capacité de calcul de nos ordinateurs actuels. Ainsi, un calcul qui prendrait 10 000 ans aujourd’hui à un ordinateur classique, serait réalisé en quelques minutes seulement par un ordinateur quantique.

Comment investir dans l’informatique quantique ?

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Un enjeu de taille existe pour les entreprises qui évoluent dans le secteur de l’informatique quantique : trouver les financements suffisants. En effet, ce secteur est particulièrement capitalistique. Les jeunes startups sont à la recherche de fonds pour les aider à développer des solutions pérennes et performantes. Les FCPI, Fonds communs de placement dans l’innovation, sont consacrés à financer l’ensemble des activités novatrices. Pour cela, ils regroupent l’ensemble des investissements réalisés par les particuliers, et investissent à leur tour dans des projets porteurs de sens et à fort potentiel de croissance.

Les principaux avantages des FCPI pour les investisseurs particuliers ? Les voici : • Une diversification des actifs financiers détenus ; • Un levier de performance conséquent ; • Des avantages fiscaux, notamment au travers d’une réduction d’impôts de 18 % lors de la souscription des parts de FCPI.

L’informatique quantique et Google : une histoire qui fonctionne

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L’informatique quantique, et sa puissance décuplée, n’est pas destinée à une utilisation grand public. Cette technologie de pointe s’adresse à des usages particuliers : astronomie, météorologie, médecine, etc. Des problématiques encore non résolues aujourd’hui pourraient ainsi être solutionnées grâce à l’incroyable capacité de calcul des ordinateurs quantiques. Et le géant Google l’a bien compris. En 2019, la firme a ainsi créé le buzz en témoignant de ses progrès notables dans ce domaine. Sa création ? Un ordinateur quantique plus rapide que tous les précédents. Une course à la rapidité que de nombreuses entreprises poursuivent également, à l’instar d’IBM.

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